Immersion politique de l’affaire JFK au film Oslo et hommage à Jean-Paul Belmondo

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À l’occasion de la 47e édition du festival américain de Deauville, Kevin Elarbi (en partenariat avec OCS), propose un voyage au coeur de la politique avec le film “JFK“ de 1991 et le documentaire “JFK revisited“ d’Oliver Stone qui est présenté à Deauville (hors compétition), ainsi qu’une analyse du film en compétition “OSLO“ qui embarque le spectateur en pleine négociation entre l’Israël et la Palestine  de 1990. L’auteur n’a pas oublié de terminer avec une note douce amère en rendant hommage à l’une des plus grandes figures du cinéma français Jean-Paul Belmondo. 

Trente ans après sa fiction “JFK“, avec Kevin Costner, Oliver Stone n’a pas dit son dernier mot et revient avec un documentaire poursuivant l’enquête inachevée sur le mystérieux assassinat du président Kennedy. Présenté lors de la 47e édition du Festival américain de Deauville, hors compétition, ce film intitulé “JFK revisited“ en français “JFK l’enquête“, explore de nouvelles archives et interroge les derniers témoins. 

Au cours de ce nouveau podcast, Kevin Elarbi, reste dans une thématique très politique, en abordant le film “OSLO“  de Bartlett Sher, qui en compétition en festival américain de Deauville, sortira prochainement sur OCS. Tiré d’une pièce de théâtre éponyme, le film est un véritable témoignage politique aux faits véridiques ramenant ainsi le spectateur trente ans en arrière, au début des années 1990, durant le premier mandant du Bill Clinton qui avait pour mission lors de ses deux mandats de trouver une résolution au conflit israélo-palestinien, vieux de plus de 40 ans à l’époque. 

Belmondo vivra toujours 

La semaine du 6 septembre a eu une saveur un peu particulière, puisque Jean-Paul Belmondo s’en est allé rejoindre d’autres grandes étoiles du cinéma français. Il était un acteur à deux visages, celui des grands films d’auteurs, mais aussi du cinéma populaire, qui lui a permis de se faire aimer de tous les publics depuis des générations. Pour clôturer ce podcast, il était donc une évidence de mettre en lumière le Magnifique pour certain, Bebel pour d’autre, comme on aimait le surnommer. 

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